More than an homage, a time of transmission and sharing around Jack Ralite’s thought and engagement.Bringing together philosophy, poetry, and the political, while keeping the artists in mind.
A day cordinated by Marie-José Sirach, leader of the cultural service of l’Humanité with the complicity of Karelle Ménine author of « La pensée, la poésie et le politique – Dialogue avec Jack Ralite » Solitaires Intempestifs, 2015. Festival d’Avignon, Association Jean Vilar et PCF. Partnership with Journal l’Humanité.
11h30-13h00
L’histoire des politiques publiques de l’art et la culture
Homme politique, homme d’engagement et de parole, Jack Ralite est à l’origine de la création, en 1965, du théâtre de la Commune d’Aubervilliers, en 1968, il est aux côtés de Vilar, en 1981, ministre à la santé de Mitterrand, en 1987 à l’initiative des Etats-Généraux ou en 2003, dans le conflit des intermittents… Cette table ronde sera l’occasion d’évoquer les nombreuses prises de positions publiques de Jack Ralite sur les questions de politique culturelle, de budget, de défense du service public de la culture et de l’audiovisuel.
15h00-16h30
Une pensée active pour les enjeux d’aujourd’hui
Jack Ralite a eu des relations privilégiées, souvent intimes, avec les artistes. Sans jamais, les instrumentaliser, le compagnonnage qu’il a su construire avec eux était animé d’une passion, d’un respect et d’une admiration sincères. De ce dialogue artistique, poétique et politique sont nées les Etats Généraux. Que faire de cet héritage aujourd’hui ?
17h00-18h30
L’art ne connaît pas de frontières
Au Parlement des écrivains pour mettre sous protection les écrivains algériens, lors du conflit en Yougoslavie dans les années 90, aux côtés des syriens dès 2011 ou face au sort honteux réservé aux Réfugiés, Jack Ralite était sensible à l’état du monde et engagé aux côtés des artistes comme des populations civiles.
Pour un art sans frontière.
Et tout au long de la journée, dans la salle vidéo de la Maison Jean Vilar, un programme de projections conçu par Denis Ralite et Eric Garreau, avec l’association CICAVIDEO et les archives audiovisuelles de la Ville d’ Aubervilliers.