
Représenter sans agresser :
l’art au défi des violences sexuelles
Mercredi 16 juillet | À 15h | Salon de la Mouette de la Maison Jean Vilar | Entrée libre sur réservation (accueil@maisonjeanvilar.org / 06 62 02 55 70)
Depuis 2017 et le mouvement MeToo, les violences sexuelles ne quittent plus le devant de la scène médiatique. Quant aux œuvres, si certaines continuent de perpétuer la culture du viol, d’autres entendent dénoncer ces violences, avec le souci de ne pas violenter le public ni les artistes.
À partir de l’essai de Bérénice Hamidi, Le viol, notre culture (Le Croquant, 2025), et de spectacles présentés au Festival d’Avignon cette année, cette rencontre invite à explorer les défis esthétiques et éthiques soulevés par la représentation des violences sexuelles, entre souci de les donner à voir et à comprendre et respect de la dignité des victimes.
Avec :
Ronan Chéneau, auteur de À la barre (Solitaires Intempestifs, 2025), programmé à La Manufacture dans une mise en scène de Steeve Brunet
Servane Dècle, dramaturge pour Le Procès Pélicot, programmé au Festival d’Avignon dans une mise en scène de Milo Rau
Bérénice Hamidi, autrice de Le viol, notre culture (Le Croquant, 2025)
Séphora Haymann, membre du collectif #MeTooThéâtre, co-metteuse en scène de Les Histrioniques, Un trou dans la raquette, programmé au 11
Rencontre animée par Chloé Macaire, journaliste à Zébuline