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Aujourd'hui

À la table de Jean Vilar,
L’Auberge de France : premier mécène du Festival d’Avignon

Maison Jean VIlar 8 Rue de Mons, Avignon

Trésors d’archives - Du 18 mai au 22 septembre 2024 À la table de Jean Vilar, L’Auberge de France : premier mécène du Festival d’Avignon L’Association Jean Vilar rend hommage à une institution gastronomique avignonnaise, l’Auberge de France, dont l’histoire est intimement liée à celle du Festival d’Avignon.  Lorsqu’en 1947 Jean Vilar et sa troupe arrivent à Avignon pour la Semaine d’Art, ils cherchent un restaurant acceptant de les accueillir et de les nourrir. Georges Pons, maire de la ville, conseille à Jean Vilar de se rendre à l’Auberge de France, idéalement placé, à deux pas du Palais des Papes et […]

On ne fait jamais relâche
Hommage à Alain Crombecque

Maison Jean Vilar Maison Jean Vilar - 8 rue de Mons, Avignon, France

La personnalité unique d’Alain Crombecque a touché nombre d’artistes, son énergie les a accompagnés dans la création, son regard porté sur leur travail en faisait un interlocuteur essentiel. C’est ce rapport singulier entre un homme et des artistes qui est mis en lumière à travers de nombreux documents.

3€ à 6€

Parcours de l’art 2024
Patrick Vandecasteele et Thierry de Mey

Maison Jean VIlar 8 Rue de Mons, Avignon

Le Parcours de l’Art, prépare sa 30ème édition avec une thématique spéciale pour cette année olympique : le corps et le mouvement.
20 artistes seront réunis pour cette édition anniversaire. À la Maison Jean Vilar, vous pourrez retrouver le travail de Patrick Vandecasteele et Thierry de Mey, ainsi que des conférences, rencontres et débats.

LES SAMEDIS DE LA MAISON JEAN VILAR :
Rencontre : Barbe-bleue de Pina Bausch

Maison Jean VIlar 8 Rue de Mons, Avignon

La Maison Jean Vilar vous propose une rencontre autour de la pièce Barbe-Bleue, créée en 1977 par le Tanztheater Wuppertal. Inspirée de l'opéra Le Château de Barbe-Bleue de Béla Bartok, l'oeuvre est, selon les mots de Rosita Boisseau, "une pièce de jeunesse, méchante et impitoyable, dans laquelle Pina Bausch regarde par le trou de la serrure et défonce la porte". Elle fit scandale lors de sa présentation mais n'en fut pas moins remontée à de nombreuses reprises, devenant l'une des pièces iconiques de la grande chorégraphe.