Dans un camp déserté, après la guerre, une jeune fille raconte sa fuite, le viol collectif, l’enfant dans son ventre, sa haine, la guerre et son amour naissant pour Boy Killer. Une langue enfantine,faussement naïve, empreinte d’émotions pudiques…
Jardin de la rue de Mons © Christophe Raynaud de Lage