Se souvenir de l’avenir avec Jean Vilar
avec l’association Jean Vilar et la Bibliothèque nationale de France
Cinquante ans après la disparition de Jean Vilar, se souvenir de
l’artiste directeur du TNP et fondateur du Festival d’Avignon pour penser le présent et l’avenir du théâtre de service public.
On ne peut diriger un théâtre innocemment
MERCREDI 14 juillet -11h à 12h30 à l’Église des Célestins
Attention : Précédemment annoncée au Cloître Benoît XII, la rencontre a changé pour l’Église des Célestins)
Dans « Le Théâtre et la Soupe », conférence prononcée à Chaillot en 1952, Jean Vilar évoque les difficultés, et parfois les contradictions, de la mission qui est la sienne : créer des spectacles et diriger une institution publique. Qu’en est-il aujourd’hui de ce double rôle d’artiste et de directeur ou de directrice dans le théâtre public ?
Invités : Jean Bellorini, directeur du TNP – Nathalie Garraud, co-directrice du Centre dramatique national de Montpellier – Laëtitia Guédon, directrice des Plateaux Sauvages – Fabrice Murgia, directeur du Théâtre national Wallonie-Bruxelles – Rachid Ouramdane, directeur du Théâtre national de la danse de Chaillot – Olivier Py, directeur du Festival d’Avignon et des directeurs artistes.
Animé par Fabienne Pascaud, en partenariat avec Télérama.
Passer l’éponge et continuer
MERCREDI 14 juillet -14h30 à 16h à l’Église des Célestins
Tout au long de son parcours, Jean Vilar a été confronté à de nombreux moments de crises, d’innombrables critiques et s’est aussi sans cesse interrogé sur son travail comme sur les institutions qu’il a dirigées. Pourtant, il a su « passer l’éponge, et continuer ». Alors que la place et le rôle des artistes et des institutions culturelles sont particulièrement fragilisés, cette rencontre interroge l’itinéraire de Jean Vilar dans ces contextes de crises multiples et de remises en cause.
Invités : Emmanuel Ethis, sociologue et recteur de l’académie de Rennes,
Emmanuelle Loyer, historienne et professeure à Sciences Politiques,
Violaine Vielmas doctorante.
Animé par Judith Sibony, en partenariat avec la revue Théâtre(s)